L'Armée Impériale
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6e Bulletin de l'Armée Impériale : du 4 au 6 décembre 2012

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Message  François Sauvo Mar 11 Déc - 17:29



Strzalkovo, le 8 décembre 2012,

Le 4 décembre 2012 Dupuy de Suffren ® et Pierre Konovnitsine ® affrontèrent, alliés à krueger (5*, et tous jouant la Prusse), sur les prairies de Pologne (Plaines Herbeuses, pas d'artillerie et 6 légers au plus), une équipe anglo-française formée de Pike (6*, UK), The Knight who says Ni (6*, UK) et Emperor (5*, FRA).

Le combat fut lancé par un krueger presssé d'en découdre, que dut épauler prestement Dupuy, situé au centre, tandis que Konovnitsine occupait l'aile gauche de l'ARMI. Le marin qu'est Pike opposa à l'avancée de krueger une première ligne trop faible qui reçut le feu de toute la ligne prussienne. Rapidement, une unité britannique partit en déroute, et Dupuydépêcha trois régiments sur la droite, prévoyant que Pike serait bientôt assez affaibli pour ne pas pouvoir s'opposer à un débordement par sa gauche.
Alors que The Knight — ex-Capatain Duvalier — demeurait sur ses positions, échangeant des tirs de Fusils avec les Schützen de Dupuy ou de krueger, The Emperor observait également Pierre Konovnitsine, livrant avec lui quelques escarmouches de cavaliers ou de troupes légères.
Pike commença à reculer. Ce fut le moment où les trois régiments de Dupuy, parvenus à l'extrémité de l'aile droite prussienne, se projetèrent en avant et flanquèrent les troupes du Britannique qui ne réagirent pas assez vite. Deux unités de fantassins et bientôt une de Gardes à cheval tombèrent sous le feu de ces trois régiments qui poursuivirent leur marche tactique pour aller se placer dans le dos de Pike, qui commença alors à regrouper ses régiments.
A gauche, Konovnitsine reçut la charge française et la négocia de telle façon qu'il parvint bientôt à créer une brèche dans le corps tricolore et à y lancer sa cavalerie. Pendant ce temps, l'armée de Dupuy avait avancé sa droite et reculé sa gauche, à la fois pour attirer The Knight vers l'avant et préparer sa rotation vers l'aile droite de The Emperor, qui allait bientôt parvenir à sa hauteur.
The Knight recula, et tenta d'éliminer les trois régiment de Dupuy arrivés dans son dos. Il leur infligea quelques pertes, mais ces unités se retirèrent plus au nord. Mais cette attquae eut pour effet de dégarnir totalement le centre coalisé, et donc le flanc gauche de The Emperor, sur lequel fondirent l'aile gauche et le centre de Dupuy de Suffren, pendant que sa droite protégeait le mouvement contre un éventuel retour des Britanniques.
Krueger venait de réduire Pike et The Knight tomba sous la pression conjointe qu'il exerça avec Dupuy, au centre. Konovnitsine n'avait guère perdu son temps et avait laminé The Emperor, ne laissant à Dupuy qu'un régiment de fusiliers à se mettre sous la dent, ainsi que le général ennemi qui tomba sous les coups de la cavalerie de Dupuy de Suffren.


C'est à Aoste le même jour que Lorenzo.G (5*, FRA) TheDukeOfWellington (4*, FRA) que se heurtèrent en 2v2 (« pas d'obusier ni de fusées ») à l'Armée Impériale dont les corps, venant du sud, étaient conduits par nos généraux Dupuy de Suffren et Pierre Konovnitsine, combattant exceptionnelement sous drapeau britannique. L'ennemi alignait trois artilleries contre deux, deux fois plus d'unités de la Garde et de cavalerie.
Après s'être concerté sur la tactique à suivre, les généraux de l'Armée Impériale décidèrent de laisser l'ennemi occuper le village de Saint Maurice, et de tenter de réduire l'ennemi par ses ailes, en neutralisant assez rapidement, si possible, l'artillerie adverse.
Ce fut Konovnitsine qui engagea les premières escarmouches, aux Combes qu'il occupait, entre Bois de Joux et Bois Maria. Pendant ce temps, Dupuy continua de barrer la sortie sud du village devant le rocher du Marteau, tout en commençant à détacher, deux par deux, des régiments qui s'en allèrent se positionner d'abord sur le Pas du Fayet ou en contrebas, puis entre le Cugnoz et la Croix du Fayet. L'artillerie à cheval de Dupuy quitta le Pas, trop exposé aux tirs de TheDukeOfWellington, qui avait juché une batterie sur la butte du Bois Maria, en compagnie de deux régiments de ligne dont un de la Jeune Garde.
La menace exercée ensuite par Lorenzo.G sur l'entrée du Fayet permit alors à Dupuy de contrer ce mouvement et de déplacer ses troupes vers le centre de la vallée de Valgrisenche.

Tandis que Konovnitsine progressait pas à pas vers la Joux d'En-Haut et le roc Maria, Dupuy parvint à glisser ses trois unités de Rifles sur la Route de Morgex, entre le Cugnoz et le rocher de moindre altitude qui lui fait face de l'autre côté de cette route qui sort des Combes vers le Nord-Est.
Ces trois régiments légers purent alors affaiblirent les Fusiliers et la Jeune Garde de TheDukeOfWellington /b] et, soutenus par les carrés des deux régiments des Highlands qui les soutenaient, résister aux charges des cavaliers français que repoussa également l'artillerie montée mise en batterie en retrait, sous le rocher.
Bientôt, comme un fruit mûr, les défenses du Bois Maria cédèrent sous la charge des dragons de [b]Dupuy
: artillerie et fantassins furent rapidement réduits et la butte du Bois Maria tenue par l'ARMI.
De dépit, le commandant en chef TheDukeOfWellington quitta le champ de bataille, laissant son armée à elle-même, ce qui rendit plus facile l'extermination, par Konovnitsine, d'un régiment de Vieille Garde et d'une unité de ligne du même commandant, qui venaient de franchir le col du Joux d'En-haut.
Continuant leur avancée, les Rifles de Dupuy s'emparèrent des deux autres batteries d'artillerie de l'ennemi, qui se trouvaient alors en mouvement près de l'entrée de Saint Maurice, de part et d'autre du Bois Pino.
Dès que la nouvelle lui fut parvenue, Dupuy de Suffren lança deux régiments d'infanterie bloquer l'autre entrée nord du village, au Plan Bernard. Bientôt la cavalerie les rejoignirent, puis le reste de son infanterie, qui ferma également l'accès du Chemin Bernard, où l'artillerie impériale se mit en batterie. Enfin, quatre régiments, soutenus par les dragons, entrèrent dans la vallée de la Cluse pour prendre le village à revers par le Pas de Chavanne.
Pendant ce temps, Pierre Knonvnitsine s'était mis en branle et réduisait l'une après l'autre els poches de résistance de TheDukeOfWellington. Bientôt ne subsista que Lorenzo.G, qui avait concentré ses troupes autour de la Ferme de Chavanne.
Après quelques contre-attaques courageuses sur le Chemin de Chavanne et le Plan Bernard d'une part et dans la Cluse d'autre part, Lorenzo.G dut abandonner la Ferme aux troupes d'assaut de Konovnitsine et hisser le drapeau blanc.


Le 5 décembre, Dupuy de Suffren ® et Robbin ® livrèrent deux combats à la Ria de Galice. Si le second fut une victoire, le premier fut une défaite et, comble de malchance pour une équipe qui aura, ces dernières semaines, remporté plus de 80 % de ses batailles, une défaite classée, entraînant pertes de points Steam.

Cette première bataille perdue opposa donc nos deux généraux de l'ARMI, sous drapeau français, à D^R^A (5*, UK) et The Steve---O- (6*, TUR). Cette fois, les armées impériales se trouvaient au sud, Robbin étant le plus proche de la colline de l'ouest, le Monte Coron.

Alors que Dupuy de Suffren préconisait d'attendre l'ennemi à l'est, entre Xerdiz et Barrat, Robbin préféra l'engager autour de San Vicente, au pied de la colline sur laquelle l'Ottoman s'était installé et avait déployé deux rangés de tireurs. Sa cavalerie se trouvait en lisière du Bosque Coron. Par ailleurs, le Britannique bloquait également toute progression au nord par la route de Ferrol, et donc tout contournement de la colline.
Dès lors, la partie décisive du combat se fit, hélas, au pied de la colline, dans des conditions peu avantageuses pour l'ARMI.
Voyant que le Turc faisait mine de contourner, par l'ouest, les lignes de son allié, Dupuy transféra artillerie et plusieurs unité d'infanterie vers le Bosque da Frecha et Cabral. Bientôt, en effet, régiments Sepoy et Slahtar malmenaient la première ligne de Robbin, devant le Bosque da Frecha.
Remarquant l'arrivée des unités de Dupuy, l'Ottoman fit descendre une demi-douzaine de régiments de fantassins de la colline vers le Bosque Cabral, qui soutinrent l'action de leur cavalerie.
Dupuy, s'appuyant à gauche sur le Bosque Vedral, décida de laisser les fantassins turcs, enhardis, avancer, et de sacrifier son artillerie, qui n'eut donc guère le temps d'opérer, à peine était-elle arrivée sur la route de Ferrol.
Comme prévu, la cavalerie turque fondit sur la batterie d'obusiers, qu'elle réduisit, mais au prix de deux régiments. Aussitôt, Dupuy referma derrière elle, entre Bosque da Frecha et Cabral, le piège qu'il tendait à l'Ottoman, réduisant dans cette poche une nouvelle unité montée. Ce furent bientôt toutes les unités ottomanes qui furent anéanties dans cette zone.
Mais ce succès fut sans lendemain, car, autour de San Vincente, Robbin cédait du terrain et, bientôt, reculait. Dupuy tenta de compenser ce recul en avançant au centre. Il avança ainsi jusqu'à l'Estrada do Val, au-delà du Bois d'Abeledo, rejetant l'Anglais au pied du bois de San Vicente et de la colline.
Mais le répit ne fut que de courte durée. Le Britannique, intact, se réorganisa et accentua son effort sur le centre de la ligne française, où Robbin dut céder du terrain.
Bientôt, l'ARMI défendait depuis le Bosque da Frecha jusque Xerdiz, puis sur la route de Viveiro, entre Carcaba et Xerdiz. Le nombre la submergea finalement, et les dernières unités de Dupuy cédèrent au sud de Carcaba, entre la route et le bois de Mondigo, non sans avoir éliminé trois des cinq régiments turcs survivants.

Après cette défaite frustrante, Robbin et Dupuy de Suffren tinrent à combattre à nouveau sur la même carte, à la fois pour effacer leur échec, et pour tenter de développer une autre tactique. Lors de ce second combat, livré à une alliance formée de geo_k_2007 (1*, RUS) et Comte de la Verte. (3*, UK), Dupuy se trouvait au sud-ouest et Robbin au sud-est.

Cette fois, la colline fut investie, plutôt aisément, et le Russe repoussé au-delà d'O Mogo, puis bientôt vers Negradas, tandis que Comte de la Verte se repliait, à l'est et sous l'avancée de Robbin, autour de Barrat, puis de Negradas. La Garde à pied britannique, retranchée dans la ferme-auberge, parvint à repousser l'assaut prématuré de la Garde de Dupuy, affaiblie. Car l'artillerie de Robbin, toujours en action, eût fini par réduire la redoute. Quelques minutes plus tard, Robbin, soutenu par Dupuy resserra son étau et les troupes du Comte partirent en déroute.


Le lendemain 6 décembre 2012, Robbin et Dupuy de Suffren débutèrent, dans les mêmes positions de départ sur la Ria de Galice, une bataille qui les opposa à xXMdDellxX (5*, UK) et dirk_dame (VETERAN) (4*, PRU). Suite à un incident technique les quatre armées se retirèrent du champ de bataille alors que Dupuy avait occupé le Monte Coron et San Vicente et que les armées adverses s'étaient regroupées à l'ouest de l'Estrada ce Cabo Cebes et devant le Bosque Cebes pour les Prussiens, et entre bois da Vista et do Ouro pour les Britanniques. Le général Robbin avait progressé au centre, entre O Mogo et bois do Recuncho, et infligeait des dommages à Dirk_dame.

Trois autres batailles furent proposées par nos deux généraux de l'ARMI, qui n'aboutirent pas, les adversaires n'en respectant pas les règles et chacun quittant le champ de bataille.

Quand Robbin alla prendre un repos bien mérité, Dupuy de Suffren fut rejoint par Pierre Konovnitsine. Les deux camarades proposèrent une bataille en 3v3, toujours sur Ria de Galice, à une alliance composée de msva.petitdidier (2*, RUS), [ESPADAS] Papa Monte (9*, TUR) et Sparta (5*, UK). Pierre Konovnitsine et Dupuy de Suffren, tous deux FRA, étaient alliés à alexandre.gilbert (5*, FRA).

Très vite, le général alexandre.gilbert quitta le champ de bataille, laissant son armée sans commandant en chef et ses alliés de l'ARMIen situation d'infériorté face à une alliance supérieure en nombre, et au sein de laquelle msva.petitdidier, ne respectant pas les règles convenues entre les belligérants (un régiment d'artillerie mobile, trois de légers), alignait une licorne, un obusier et une artillerie à pied de 12 livres.
Après une hésitation, l'ARMI décida de livrer bataille. Comme convenu, Konovnitsine investit la colline avant msva.petitdidier, en refusant l'accès, sa strop de difficulté, au Russe. Pendant ce temps, Dupuy avait investi San Vicente, les abords de sa ferme et son bois, et assurait donc la sécurité de la droite de son allié.
Alors que Sparta et [ESPADAS] Papa Monte se regroupaient pour attaquer, au centre de la carte, l'armée d'alexandre.gilbert orpheline de son général, Dupuy avançait ses unités de ligne dans le bois de San Vicente et flanquait le Russe sur sa gauche, en jetant ses Chasseurs à cheval sur l'une des unités d'artillerie du Tsar.
Msva.petitdidier eût été anéanti si Sparta n'avait dépêché, par la route de Vilamar et Negradas, trois unités d'infanterie dont l'intention patente était de sauver l'artillerie russe.
Pendant ce temps, Dupuy avait retourné ses troupes de San Vicente vers le Turc afin de joindre soin effrot à la résistance de l'armée d'alexandre.gilbert.
Quand les régiments de Sparta atteignirent O Mogo et que les deux armées turques et britanniques eurent vaincu les troupes, sans chef, d'alexandre.gilbert, Dupuy de Suffren commença, à San Vicente, à se replier sur la colline, tandis que Pierre Konovnitsine faisait de même.
Car le Turc, contournant le Monte Coron, arrivait au sud de San Vicente, traversant la route de Ferrol pour attaquer dos au Bosque da Frecha. L'Anglais vint glisser ses unités à sa droite, en colonnes resserrées autour de la ferme et du bois de San Vicente.
Cependant, Dupuy avait, tout en se repliant, réussi à flanquer, par le nord, en lisière du Bosque de San Vicente, trois régiments ottomans qui reçurent le choc de la charge des Lanciers Hollandais de la Garde. Un seul de ces régiments avait survécu quand Dupuy regagna la colline, cependant que Konovnitsine échangeait un feu nourri tant au sud contre le Turc que contre le Britannique, qui sortait du bois à l'est, au-dessus de la ferme de San Vicente.
Remarquant que les régiments anglais qui avaient soutenu le Russe autour d'O Mogo étaient isolés, Dupuy fit redescendre contre eux les vainqueurs des Turcs ainsi que deux autres régiments qui s'étaient repliés sur Monte Coron et y assuraient un deuxième ligne de défense. L'Etat-Major vint prêta main-forte au mouvement, et les habits rouges partirent bientôt en déroute.
Prestement, les troupes de Dupuy repartirent vers l'orée nord du bois de San Vicente où elles parvinrent à point pour flanquer l'armée anglaise de Sparta qui y fut bientôt exterminée.
Le Turc, voyant son allié s'effondrer, et cependant que Dupuy lançait trois unités réduire les dernières troupes russes, recula devant le Bosque da Frecha. Konovnitsine, sans laisser le temps à son adversaire le temps de respirer, commença à descendre de la colline.
A sa droite, [ESPADAS] Papa Monte pouvait voir cinq régiments de Dupuy progresser par la route de Ferrol avec l'intention évidente de le flanquer et de le prendre à revers.
Entre l'encerclement et la mêlée, Papa Monte choisit le choc, et périt bientôt, honorablement.
L'ARMIvenait de remporter une autre victoire mémorable, à deux contre trois, et face à une équipe comprenant un joueur coriace, Sparta, et un des meilleurs combattants qui soient, le 9 étoiles Steam
[ESPADAS] Papa Monte. Tandis que les pertes du tactique Dupuy de Suffren s'équilibraient, Pierre Konovnitsine réalisait un nouvel exploit en tuant 2078 ennemis pour 806 tués dans ses rangs.

Pendant que le Grand Massacreur de l'ARMI se reposait dans ses quartiers et recevait des émissaires espagnols, l'infatigable Dupuy de Suffren levait le camp et faisait sa jonction, en Aragon, non loin de l'Ebre, avec l'armée de Konrad von Leachenstein ®. Quand les deux armées furent réunies, elles marchèrent peu après à la rencontre de leurs homologues Duke Frederick MacIntosh (4*, UK) et <ARIETE DIVISION> Lorenzo.G (5*) sur le site des Falaises nues.
Dupuy eut vite fait d'investir le surplomb et d'y mettre son artillerie en batterie. A sa gauche, dans un relief plus difficile, Leachenstein parvenait plus lentement sur la hauteur où l'avait précédé Lorenzo.G avec sa cavalerie.
Sitôt sa position établie, Dupuy de Suffren orienta cinq régiments, dont deux de la Garde, vers la gauche de l'avant-garde prussienne. Ce mouvement obligea Lorenzo G. à se défendre puis à faire retraite vers l'est, ce qui permit à Konrad von Leachenstein de déployer toute son armée sur la hauteur.
Tandis qu'en contrebas, au sud-ouest, Duke Frederick Macintosh progressait lentement, Dupuy lança sa cavalerie, puis ses cinq régiments attaquer le dernier tiers de l'armée prussienne, demeurée sous la hauteur.
Coupés en deux, les Prussiens furent réduits rapidement. Les Français se reportèrent ensuite vers le Britannique, qui avait grimpé la colline, où il était déjà accueilli par le feu de l'artillerie montée de Dupuy et celui de cinq régiments, dont celui de la Vieille Garde.
L'Anglais fut décimé et, bientôt, sous la poussée de troupes accourues de l'est et sous la menace de celles qui arrivaient dans son dos au bas de la crète, il partit en déroute vers l'ouest.


François Sauvo
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